Nao Marchombre

   « La chaleur... Va vite tomber, prépare toi au grand froids ! »

MA MENTALITÉ

Je suis un garçon aux multiples facettes... Comme tout le monde quoi. Vivre sur une banquise sa forge l'esprit et le corps, mais là n'est pas là question. J'ai grandis entouré de pokemon, ils étaient plus nombreux que les enfants à Blyza. Alors je me suis toujours sentis plus proche d'eux, que des humains. Ainsi, je déteste les personnes qui maltraitent les pokemons, attentions, je ne parle pas forcément de combat. Mais bien des abus, lorsque j'entraîne mes pokemons, je le fais avec le cœur, je cherche à les faire progresser et je me pousse moi même à bout, me montrant à l'unisson avec eux.

Je suis autant capable de rester glaciale, que remplit de chaleur. Hein ? ça ce dit pas ? Hum... Bon, bah je peut-être un type sympa ? Ah voilà, je suis aussi un esprit ardent, capable de m'embrasser pour une cause ou mes amis.
Un grand rêveur aussi, romantique ? Euh... Non.  N'ayant pas eu franchement de camarade humain, j'ai un peu de mal à me comporter correctement avec eux, me montrant un peu arrogant. Sûr de moi et y allant à fond, mais le plus stratégique possible, réfléchis et curieux.

Je suis souvent spectateur, cherchant comment agir envers les autres, dans ma famille nous étions plutôt... Rustre, bagarreur, il m'arrivait ainsi de me battre (gentiment) avec mes propres pokemons. Toutefois nous n'étions pas des machistes, la femme (en générale) avaient son importance, elle était notre égaux. Même si notre égo lui mettaient parfois des bâtons dans les roues, par contre... Ma mère, sait donner de ces roustes... Je vous jure que j'ai pas envie de l'affronter, en face à face, car elle était tout de même l'ancienne championne de la ville, avant que je ne prenne sa place. Que ce que j'étais fière... Avant qu'elle me jette dehors, c'est comme ça qu'on apprend l'indépendance chez nous, à la dure ! Ainsi que la survie en milieu inhospitalier.

Chez nous, les femmes sont aussi des chasseuses comme les hommes, il faut être fort pour survivre à de long hiver rigoureux. Alors oublié le romantisme, ici on va directe au but.

MON HISTOIRE

J'ai toujours vécu à Blyza, né dans une famille au sang froid, l'habitude de vivre dans le froid me donna une résistance naturelle au température basse, je ne sentais pas lamorsure du froid et parfois je me retrouvais à somnoler, près de la maison, mais en dehors. Au risque de tomber en hypothermie...

Je grandis en compagnie d'une évoli, elle était ma meilleure amie, elle partait tout le temps avec moi lorsque j'allais dans la nature. Ainsi, dès que je pus, je la transformai naturellement en Givrali. Son pelage ne suffisant pas à la garder de la chute de température en tant qu'évoli.

Facilité ou manque de dresseur à combattre, je devins rapidement le champion d'arène de ma ville. Bien sûr, ce n'est pas un endroit rêvé pour faire bronzette, c'est pourquoi je ne suis pas si souvent que cela dans mon arène. Il Faut dire que peu de personne viennes jusqu'ici alors bon...

Devenant le champion d'arène, je gagnais en responsabilité, pas vraiment en charme vue qu'on se connaissait tous dans le village. J'étais heureux de voir de nouveau dresseur et de les affronter, gagner ou perdre n'était pas important, c'était plutôt l'expérience gagner et le respect des uns et des autres.

Avec l'arrivée du pokemon légendaire, je suis devenu bien plus curieux et à décider de voyager un peu à la rencontre des dresseurs et des nouvelles formes de pokemon.

Mais revenons-en à ce qui s'est passé, la transformation des pokemons en humanoïdes. Ce fut une énorme surprise pour ma part, déjà ce cri, quel genre de créature était-ce ? Ensuite, voir Givrali changer... Ce fut un choc pour moi, j'avais un peu de mal à savoir comment réagir. D'une certaine manière, c'était bien, je pouvais lui parler et comprendre ce qu'elle disait. Toutefois, la voir "humaine" me faisait poser question sur comment je devais m'occuper d'elle maintenant.
La voir se blesser me perturbait, c'est aussi pourquoi je partis de l'arène pour voir comment les autres dresseurs réagissent. Oui, ça semble étrange, mais je ne comptais pas rester ma vie là-bas. JE voulais partis et revenir quand je le souhaiterais, être libre de mes aller et venu malgré mon titre de champion, gardant toutefois contact avec les lieux et revenant souvent pour voir comment avançait les choses.